de Martin Amis (Gallimard)
Un bon romancier peut parfois se fourvoyer et c’est le cas. Seuls les bobos qui ne voient jamais la réalité peuvent s’exclamer que « ce livre décrit la situation d’une société gangrénée par l’argent, le culte des apparences, le bling-bling, etc. » En résumé, ce livre pourrait être sous-titré « les pauvres pour les nuls ».